🚀 L’ANNÉE N’EST PAS FINIE… PAS ENCORE ! 🚀
C'est maintenant ou jamais !
“On ne se souvient pas de ceux qui commencent. On se souvient de ceux qui terminent.”
Tout le monde veut commencer. Tout le monde adore le “départ”. Ce moment où tout est neuf, où l’excitation est à son comble, où les promesses pleuvent. C’est facile de commencer. Un projet, une entreprise, un rêve… On se sent fort, invincible, comme si rien ne pouvait nous arrêter. Mais entre nous, combien de ces départs se transforment en victoires ? Pas beaucoup.
Les salles de sport sont pleines en janvier, les carnets de notes débordent d’idées grandioses, les to-do lists s’allongent. Et après ? Après, c’est la réalité. La fatigue. Le doute. Le chaos. Et c’est là que la majorité des gens abandonnent. Ils arrêtent au milieu. Ils s’inventent des excuses : “Je ferai ça plus tard”, “Je suis trop fatigué”, “Je vais réfléchir”. Mais la vérité, c’est qu’ils n’ont jamais appris à terminer.
On ne vous respectera jamais pour avoir commencé un livre. On vous respectera pour l’avoir fini. On n’admire pas les gens qui lancent 10 projets. On célèbre ceux qui en terminent un seul. Parce que finir demande quelque chose de rare : de la constance, de l’endurance et une foi inébranlable.
Le problème, c’est que le monde glorifie les départs et néglige les fins. On célèbre le coup de sifflet du début de la course, mais peu de gens regardent ceux qui traversent la ligne d’arrivée. Pourtant, c’est là que tout se joue. Personne ne se souviendra de la force avec laquelle vous avez commencé, mais tout le monde se souviendra de la force avec laquelle vous avez fini.
C'est maintenant ou jamais !
La vraie gloire, c’est de finir. Pas de commencer.
Si vous deviez retenir une seule chose, c’est celle-ci : Le monde est rempli de “starters” mais il manque cruellement de “finishers”. Pourquoi ? Parce que finir, c’est douloureux. Finir, c’est inconfortable. Finir, c’est se battre contre la fatigue, la lassitude et l’envie d’abandonner.
Quand on commence, tout est facile. L’excitation est votre carburant. Vous avez l’impression que le monde est à vous. Vous êtes porté par l’euphorie de la nouveauté. Mais quand la nouveauté disparaît, que reste-t-il ? Le vide. Et ce vide, c’est ce qui fait abandonner 90 % des gens. C’est ce moment précis où ils se disent :
• “C’est trop dur.”
• “Je verrai ça plus tard.”
• “Il me reste du temps.”
Et c’est faux.
La réalité, c’est que le temps ne vous attend pas.
Il ne ralentit pas pour vous. Chaque jour où vous ne faites rien, quelqu’un d’autre avance. Chaque jour où vous doutez, quelqu’un d’autre prend la place que vous convoitez. Et pourtant, vous avez tout ce qu’il faut pour finir. Mais pour cela, il faut apprendre à aimer le vide.
Quand l’enthousiasme s’efface, vous devez activer le mental. La discipline. Ce moment où vous avancez non pas parce que c’est facile, mais parce que vous avez fait la promesse de finir. Peu importe que ce soit le dernier jour de l’année ou une simple semaine de décembre. Ce n’est pas le mois qui compte. C’est ce que vous décidez d’en faire.
“Ne te repose pas au milieu de la montée. Le sommet est plus proche que tu ne le crois.”
Pensez à un coureur de marathon. Tout le monde est frais au départ. Les visages sont souriants, les muscles échauffés, la foule applaudit. Mais au 35e kilomètre, il n’y a plus d’applaudissements. Juste le bruit des pas sur le bitume. Le souffle court. La douleur dans les jambes. C’est là que le véritable test commence. Et c’est là que 80 % des coureurs pensent à abandonner.
Mais il y a toujours ce 1 % de coureurs qui accélèrent. Ce sont eux qui deviennent des légendes. Ce sont eux qu’on célèbre. Pas ceux qui partent vite, mais ceux qui finissent fort.
Dans le business, c’est pareil. Dans la vie, c’est pareil. La plupart des gens lèvent le pied en décembre. Ils pensent : “C’est la fin de l’année, je vais me reposer.” Mais vous ? Pas vous.
Pendant qu’ils ferment les yeux, vous ouvrez les vôtres. Pendant qu’ils posent leur crayon, vous tracez encore une ligne. Pendant qu’ils préparent leurs “résolutions de janvier”, vous écrivez vos exploits de décembre. Parce que vous savez une chose qu’ils ignorent :
On ne se souvient pas de ceux qui s’arrêtent. On se souvient de ceux qui terminent.
“Le dernier sprint d’une course vaut plus que les premiers kilomètres.”
Terminer n’a rien de glamour. Personne ne vous félicitera au début. Vous serez souvent seul face à vous-même. Mais cette solitude, elle forge. Cette douleur, elle construit. Et au moment où vous franchirez la ligne, TOUT le monde vous applaudira. Mais pour ça, vous devez apprendre à courir même quand il n’y a plus de bruit.
C'est maintenant ou jamais !
Les départs font du bruit. Les arrivées font l’HISTOIRE.
Ce n’est pas fini. Pas encore. Et si vous pensiez que tout se jouait au début de l’année, vous vous trompez. Les grands ne sont pas ceux qui commencent. Les grands sont ceux qui TERMINENT.
Ne vous trompez pas de bataille. On ne vous demande pas d’être le plus rapide au départ. On vous demande d’être encore debout à la fin. Parce qu’au bout du compte, ce n’est pas la vitesse qui compte. C’est la persévérance. Et vous en êtes capable.
Vous en avez déjà assez vu, n’est-ce pas ? Des gens qui annoncent de grands projets au début de l’année. “Cette année, je vais perdre 10 kg.” “Cette année, je lance mon entreprise.” “Cette année, je vais lire 50 livres.” Mais où sont-ils maintenant ?
Disparus.
Ils ont abandonné. Ils ont cru que le départ suffisait. Mais non. Finir demande du courage. Finir demande de la patience. Finir demande du caractère.
Regardez autour de vous. Pendant que les autres ferment les yeux sur leurs rêves, vous êtes encore là. Vous, vous tenez bon. Parce que vous savez que le monde est rempli de “starters” mais vide de “finishers”.
Vous n’avez pas besoin de 365 jours pour changer votre vie. Vous avez juste besoin d’un dernier sprint. Les derniers jours de l’année ne sont pas des jours “perdus”. Ce sont les jours les plus précieux.
Quand tout le monde dort, c’est là que les lions chassent. Quand tout le monde ralentit, c’est là que les rois avancent. C’est le moment où vous décidez si vous voulez faire partie de l’histoire ou juste la regarder passer.
Personne ne se souviendra de la force avec laquelle vous avez commencé. Mais tout le monde se souviendra de la force avec laquelle vous avez fini.
Alors, FINISSEZ EN BEAUTÉ. FINISSEZ EN FORCE.
Pas d’excuses. Pas de regrets. Pas de doutes.
Vous n’êtes pas venu jusqu’ici pour vous arrêter au milieu. Vous n’êtes pas de ceux qui “essaient”. Vous êtes de ceux qui TERMINENT.
🔥 FINISSEZ EN BEAUTÉ. FINISSEZ EN FORCE. 🔥
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